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Tandis qu’en 1994, le Dr Léo Navratil lui consacrait une monographie, son œuvre a été sauvée de justesse par une infirmière de l’asile psychiatrique près de Vienne où il était interné au début du XXe siècle. Cet homme dont le travail était jugé “comme sans valeur” par les médecins est aujourd’hui considéré comme l’un des artistes classiques d’art brut parmi les plus fascinants.

La vingtaine d’aquarelles et de gouaches recto-verso présentée, dépeint et décrit la vie à l’hôpital psychiatrique, les travaux dans les champs mais aussi les mouvements du ciel et des oiseaux, les forêts et les siestes à l’ombre.