Edito de la semaine
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La présentation des sorties du 7 novembre 2012
L'édito de la semaine par André Ruellan nord-cinema.com
La présentation des sorties du 7 novembre 2012
L'édito de la semaine par André Ruellan nord-cinema.com
- Au siècle précédent, dans la semaine du 11 novembre, on retrouvait au programme des salles de cinéma quelques nouveautés ou des reprises de films prônant la Grande Guerre ou qui en dénonçaient les horreurs (Les Croix de Bois, Sergent York ... ) dans une atmosphère martiale ou dramatique restituée par les comédiens Anciens Combattants, avec plus récemment une contribution authentique du 7ème Art avec d'excellents films comme " La Chambre des Officiers " , " la Tranchée " ou " le Cheval de Guerre ".
- C'est ainsi que cette semaine , nous partons en guerre avec une toute autre forme de conflits : la prise d'otages et Argo de et avec Ben Affleck qui traite excellemment paraît-il, de la capture de diplomates américains dans leur ambassade par des militants révolutionnaires iraniens en 1979. D'où un suspense spectaculaire pour une dramatique histoire réelle et un faux film-prétexte.
- Reprenons notre souffle avec le docteur Jean-Martin Charcot, le fondateur de la neurologie moderne et professeur de S. Freud. Bien-sûr, parmi un nombre considérable de sommités barbichues et moustachues, le docteur Charcot glabre et sévère traita de nombreuses malheureuses atteintes d'hystérie dont Blanche Wittmann et la mieux connue Augustine qui fut le cobaye et la passion du neurologue, remarquablement campé par Vincent Lindon dans une réalisation exemplaire d' Alice Winocour, et dont les figurants sont de vrais malades.
- Passons à la comédie, particulièrement celle co-écrite et co-réalisée par Hervé Mimran et Géraldine Nakache, également pétillante comédienne de Nous York avec Leïla Bekthi. Trois jeunes gens déboulent à New York pour fêter l'anniversaire d'une copine au gré de péripéties inédites et d'amours américaines.
- Et un petit coup d'épouvante avec Sinister ( -12 ) où un écrivain en polars et sa famille emménagent dans une maison peu recommandable où des tueries furent filmées en 8 m/m . Pourquoi et par qui ? Du classique dans le genre mais comment y échapper quand on aime l'angoisse garantie !
- Un chanteur-vedette des années 80, endetté jusqu'au cou, est tiré de ce mauvais cas par l'huissier venu le saisir, tout en l'entraînant dans des tournées problématiques. Tel est L'Air de Rien avec Michel Delpech dans un faux reportage avec ses vraies chansons.
- Jérôme Lescure nous embarque dans les actions d'un commando A.L.F. sur la libération animale. On trouve des images très dures dans ce film de fiction, mais engagé.
Ensuite, à retenir le drame en deux films : Il était une Foi , des oeuvres différentes mais qui posent questions et réflexions. Retour à la guerre ou plutôt à l'après-guerre avec Oliver Sherman , un thriller canadien où un ancien-combattant recherche le soldat qui lui sauva la vie. Être là est un documentaire sur sur le personnel médical de la prison des Baumettes à Marseille. Et pour terminer, un drame argentin Villegas avec les états d'âme de deux cousins qui se rendent aux funérailles de leur grand-père dans leur village d'enfance.
Bonnes séances et bons films ! Par André Ruellan.
L'édito de la semaine par André Ruellan nord-cinema.com
- Au siècle précédent, dans la semaine du 11 novembre, on retrouvait au programme des salles de cinéma quelques nouveautés ou des reprises de films prônant la Grande Guerre ou qui en dénonçaient les horreurs (Les Croix de Bois, Sergent York ... ) dans une atmosphère martiale ou dramatique restituée par les comédiens Anciens Combattants, avec plus récemment une contribution authentique du 7ème Art avec d'excellents films comme " La Chambre des Officiers " , " la Tranchée " ou " le Cheval de Guerre ".
- C'est ainsi que cette semaine , nous partons en guerre avec une toute autre forme de conflits : la prise d'otages et Argo de et avec Ben Affleck qui traite excellemment paraît-il, de la capture de diplomates américains dans leur ambassade par des militants révolutionnaires iraniens en 1979. D'où un suspense spectaculaire pour une dramatique histoire réelle et un faux film-prétexte.
- Reprenons notre souffle avec le docteur Jean-Martin Charcot, le fondateur de la neurologie moderne et professeur de S. Freud. Bien-sûr, parmi un nombre considérable de sommités barbichues et moustachues, le docteur Charcot glabre et sévère traita de nombreuses malheureuses atteintes d'hystérie dont Blanche Wittmann et la mieux connue Augustine qui fut le cobaye et la passion du neurologue, remarquablement campé par Vincent Lindon dans une réalisation exemplaire d' Alice Winocour, et dont les figurants sont de vrais malades.
- Passons à la comédie, particulièrement celle co-écrite et co-réalisée par Hervé Mimran et Géraldine Nakache, également pétillante comédienne de Nous York avec Leïla Bekthi. Trois jeunes gens déboulent à New York pour fêter l'anniversaire d'une copine au gré de péripéties inédites et d'amours américaines.
- Et un petit coup d'épouvante avec Sinister ( -12 ) où un écrivain en polars et sa famille emménagent dans une maison peu recommandable où des tueries furent filmées en 8 m/m . Pourquoi et par qui ? Du classique dans le genre mais comment y échapper quand on aime l'angoisse garantie !
- Un chanteur-vedette des années 80, endetté jusqu'au cou, est tiré de ce mauvais cas par l'huissier venu le saisir, tout en l'entraînant dans des tournées problématiques. Tel est L'Air de Rien avec Michel Delpech dans un faux reportage avec ses vraies chansons.
- Jérôme Lescure nous embarque dans les actions d'un commando A.L.F. sur la libération animale. On trouve des images très dures dans ce film de fiction, mais engagé.
Ensuite, à retenir le drame en deux films : Il était une Foi , des oeuvres différentes mais qui posent questions et réflexions. Retour à la guerre ou plutôt à l'après-guerre avec Oliver Sherman , un thriller canadien où un ancien-combattant recherche le soldat qui lui sauva la vie. Être là est un documentaire sur sur le personnel médical de la prison des Baumettes à Marseille. Et pour terminer, un drame argentin Villegas avec les états d'âme de deux cousins qui se rendent aux funérailles de leur grand-père dans leur village d'enfance.
Bonnes séances et bons films ! Par André Ruellan.
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